WARYAUME célèbre aujourd’hui un double événement musical :
la sortie des albums El’Dorim et Novians II, deux œuvres issues des peuples fondateurs de l’univers du Royaume.

🎼 El’Dorim rend hommage aux chants lumineux des Eldoriens, peuple des arts et de la mémoire, gardiens des harmonies sacrées et des langues anciennes.
On y retrouve la pureté des voix baroques les résonances célestes et les sonorités cristallines d’une civilisation dédiée au commerce et à la fourberie.

⚔️ Novians II, quant à lui, prolonge la légende des guerriers du Nord, en puisant dans la langue draknar et les chants de fer du peuple de Novania.
C’est un album d’acier et de vent, de fraternité et de foi, où la rage devient lumière et la guerre, prière. Plus d'une trentaine de titres dont une moitié sont remixés et issus de Novians.

🌕 En parallèle, la composition de Lunër’Thaël se poursuit :
un album entièrement consacré à la culture musicale lunarienne, mêlant chœurs aériens et langages poétiques venus des hautes cités lunaires.
Une œuvre de lumière et de silence, où la spiritualité prend la forme du son.

Ces trois univers, réunis sous la bannière de WARYAUME VOX, prolongent la promesse de notre saga :
celle d’un monde où chaque peuple a sa voix,
chaque langue son chant,
et chaque note, une légende.

“Dor’nul Vak í Grimr”, littéralement « Le Tombeau s’éveille dans la fureur » en langue draknar, est un chant de résurrection et de fer.

Il raconte le moment où les guerriers noviens, tombés dans la neige, entendent à nouveau le souffle de Kharon et se relèvent des tombes gelées pour défendre leur terre.

C’est une prière de fer et de sang, un cri collectif lancé à travers la glace — non pas contre la mort, mais avec elle.

L’atmosphère musicale mêle tambours telluriques, chœurs spectraux, et tagelharpa résonnante, rappelant les battements d’un cœur enfoui sous la terre.

On y sent la puissance du Nord, la foi des Ulf’run, et la main invisible de Kharon qui ouvre les portes du Dor’nul, le royaume des ancêtres.

Ce titre marque un tournant dans la saga musicale de Novania : le passage du combat à la mémoire, de la rage à la transcendance.

« Quand les tombes s’ouvrent, ce n’est pas pour fuir la mort…
mais pour lui rappeler son nom. »