On ne naît pas esclave.
On le devient…
par le silence des chaînes,
et le confort de ceux qui les tiennent.
Dans les bas-fonds de Zahraya, dans les criques lunaires où l’on vend les corps comme du bétail, ou dans les camps secrets qui alimentent les mines d’obsidienne… l’Esclavagiste règne sans fouet, sans bruit, sans dieu.
Il ne frappe pas.
Il signe.
Il ne hurle pas.
Il murmure.
Et ce qu’il promet… il le fait payer double.
L’Esclavagiste incarne la face la plus sombre du pouvoir.
Il est marchand de chaînes, dresseur d’âmes, négociant de soumission. Là où certains voient des peuples… lui voit des forces de travail, des chair-valeurs, des numéros utiles à son empire silencieux.
Il n’obéit à personne.
Il possède.
Et dans le Waryaume, il n’existe pas de guerre sans qu’un Esclavagiste ne la finance ou n’en exploite les ruines.
Capture et conversion d’ennemis
Peut réduire en esclavage des PNJ capturés, en faire des ouvriers, des mules, ou même des boucliers humains.
Production accélérée
Grâce à ses esclaves, l’Esclavagiste produit plus vite, extrait plus profond, construit plus grand.
Contrôle social
Imbattable dans la gestion des foules, il peut briser une rébellion, imposer la peur ou acheter la loyauté
Dominateur & Logistique
L’Esclavagiste n’est pas fait pour les âmes tendres. Il optimise l’invisible, maximise les profits, transforme la souffrance en puissance.
Jouer un Esclavagiste, c’est choisir l’efficacité brutale, dans un monde où la morale n’est pas une devise.
Il connaît la valeur d’un esclave mieux que celle d’un roi.
Il achète les faibles, revend les forts, dresse les rebelles et flatte les puissants. »
« Dans chaque guerre, il y a un Esclavagiste… à l’ombre d’un marché. »
« Il ne possède pas des corps. Il investit dans leur obéissance.
🗨️ « L’Esclavagiste ne tue pas. Il rentabilise. » — Ancien garde pénitencier
🗨️ « Je croyais avoir conquis un village. En fait, je lui ai vendu mes troupes. » — Capitaine d’Ak’Riyal
🗨️ « Il m’a libéré… pour mieux me faire vendre. » — Rebelle Eldorienne
«Franchement, c’est une machine à ressources humaines. Tu captures les unités ennemies et tu les convertis en main-d’œuvre ou en soldats. Si t’es rapide, tu te crées une économie parallèle imparable. »
«Exact. C’est une économie agressive : plus tu gagnes de batailles, plus ton pouvoir économique explose. Mais chaque prisonnier est aussi une cible potentielle pour tes ennemis pouvant prendre le contrôle de tes maisons d'esclaves.»
« C’est un peu dark quand même… Mais j’avoue que pour le lore, jouer un personnage qui “dompte” ses captifs et construit son empire sur ça, c’est intense.»
«Oui, Amira. On joue volontairement sur cette zone grise, entre pouvoir et moralité. C’est un rôle qui pousse à se demander jusqu’où on est prêt à aller.»
«Ce qui me plaît, c’est l'idée d'une révolte d'esclaves ou que les autres joueurs décident de libérer leurs troupes, tu peux perdre tout ton avantage en un tour.»
«Exactement. L’Esclavagiste vit sur un fil : un gros potentiel, mais une chute brutale possible. Il faut anticiper les contre-mesures. »
«C'est une excellente observation Harold. Si aucune troupe ne dirige une maison d'esclaves, celle-ci est détruite par une révolte et les esclaves se dispersent ou peuvent devenir des bandits. Ainsi est repris l'idée de l'abolition.»
«D’un point de vue narratif, ça ouvre la porte à des intrigues très sombres. Révoltes, fuites, trahisons… c’est un terreau pour de belles histoires.»
«C’est pour ça qu’on a voulu que la mécanique de révolte devienne réelle. Ça donne une tension constante et une narration riche. Un assassin bien placé peut provoquer l'apparition de barbares (anciens esclaves) dans une région.»
«On est dans un archétype presque antique : l’esclavagiste comme seigneur de guerre et marchand d’âmes. C’est dérangeant mais historiquement cohérent..»
«C’est voulu. On s’inspire de modèles antiques et médiévaux, en les intégrant dans la logique de Waryaume.»
«J’ai vu ce que ça donnait sur les champs de bataille. Les captifs sont des monnaies d’échange vivantes… mais elles ont un prix à payer : ta sécurité. »
«C’est tout à fait ça. Plus tu amasses de captifs, plus tu deviens une cible. Et tout le monde voudra te les prendre.En plus, tu réduis potentiellement ta présence sur les champs de bataille puisque tu as besoin de troupes pour garder ces maisons d'esclaves. »